SPA 01 - Berkeley (Rectangle Jaune)

Le nouveau bâtiment abritant les « Thermes de Spa » doit sa conception à l’architecte Strebelle, architecte de la Place Saint Lambert. Dominés par la lumière et les lignes courbes, ces bâtiments, implantés au sommet de la colline Annette et Lubin, intègrent magnifiquement à la nouvelle architecture créatrice du lieu, la paix intérieure et le confort relaxant que vous êtes venus y puiser. Si depuis 1868 vous affectionnez les Thermes de Spa, c’est que dans ce périmètre préservé de nature, l’eau, partout présente, est comme chargée de la force de la terre. Aujourd’hui, si rien de l’essentiel ne change, les Thermes vous offrent un visage neuf. Encore plus ludiques, toujours préventifs et plus proches de l’air du temps, les nouveaux Thermes de Spa vont ainsi vous faire plonger autrement au cœur des vertus bienfaisantes d’une eau quasi-magique et vous aider, avec une dimension accrue de plaisir, à remonter aux sources de votre bien-être.

Construit en 1769 à l’initiative du prince Hesse-Rhinfels dans un style antique (temple grec). Lors de ses séjours à Spa, il avait l’habitude d’y donner des fêtes. Cet édifice n’a pas résisté au temps et en 1851, il fut rebâti. L’architecture primitive n’a pas été conservée et la forme carrée a été modifiée pour devenir octogonale. Les quatre colonnes de granit de la façade du monument de 1769 ont été réutilisées. En 1972, Louis Pironet attirait déjà l’attention des Eaux et Forêts, propriétaires des lieux, sur l’état lamentable du pavillon qui menaçait de tomber en ruine. Des fils barbelés empêchaient d’y avoir accès. Bien que classé en 1976, il fallut attendre 2002 pour voir la fin de la rénovation du reposoir.

Le lac de Warfaaz est situé aux portes de la ville de Spa ; en Ardennes, dans l’est de la province de liège. Sa superficie est de 6,5 hectares, sa longueur la plus grande est de 600 m et de 200 m dans sa plus grande largeur.Sa profondeur varie de 1m à 7m.Il est alimenté par le wayai qui prend sa source dans un hameau portant le même nom, qui traverse la ville de Spa et qui se jette dans la Hoegne à Theux. Le pourtour est asphalté, ce qui permet un accès aisé vers les lieux de pêche. Les accompagnateurs ne sont pas en reste, les ballades sont nombreuses, les points de restauration à proximité du lac permettent de se restaurer ou simplement de se désaltérer, les enfants ont accès à une plaine de jeux dans laquelle ils ne s’ennuieront pas.

La source Wellington est une des deux sources des eaux de Spa, situées sur le territoire de Jalhay. Captée en 1908-1909, elle reçut ce nom pour commémorer le séjour à Spa en 1818 du Duc de Fer, vainqueur de Waterloo, et aussi dans l’espoir d’attirer la clientèle anglaise. La source “Marie-Henriette”, elle, a reçu le nom de la reine des belges. Légèrement pétillante, elle est commercialisée sous cette appellation par la société Spa-Monopole. On s’intéressa aux Pouhons de Nivezé dès le début du 18ème siècle. Les sources de Nivezé ont fourni une eau ferrugineuse d’excellente qualité aux Thermes de Spa.

Cette source fut fréquentée dès le début du 17ème siècle. Elle doit son nom du fait qu’elle était captée dans un tonnelet. Accès libre.

Il a été construit par l'architecte Charles Étienne Soubre (1846 – 1915) dans un style néoclassique. Il a servi de dernière résidence à l'empereur Guillaume II durant la Première Guerre mondiale avant son abdication et son exil en Hollande. C'est dans ce château qu'a eu lieu en 1920 la Conférence de Spa, conférence diplomatique traitant des réparations de guerre dues par les Allemands. Le site héberge depuis 1967 un centre sportif. Les façades et les toitures ont été classées monument historique en 1992.

Le célèbre Pierrot de Spa Monopole accueille désormais les visiteurs au rond-point au bas de la descente de Balmoral. Il va revêtir les costumes des plus illustres visiteurs passant par la ville d’eau. Il se transforme aussi en fontaine en crachant de l’eau de Spa, avec différents jeux de lumières s’adaptant aux saisons ou à l’actualité.